The Drawer, une nouvelle génération du dessin

du 6 décembre 2024 au 1 février 2025
The Drawer, une nouvelle génération du dessin

Exposition
du 6 décembre 2024
au 1er février 2025

Vernissage
jeudi 5 décembre 2024 à 18h

Hôtel des Arts TPM
236 Boulevard Maréchal Leclerc,
83000 Toulon

En 2024, la villa Noailles, en partenariat avec la Métropole Toulon Provence Méditerranée et la revue The Drawer s’unissent pour imaginer un rendez-vous autour de la très jeune scène du dessin.
Pour cette première édition, l’exposition à l’Hôtel des Arts TPM présente une sélection de travaux publiés, pour leur très grande majorité, en juin dernier dans le magazine The Drawer vol.24, Under 25, qui réunissait les oeuvres d’une trentaine d’étudiant.es en 4e ou 5e année d’écoles d’art en France et à l’international.

Sous le commissariat de Barbara Soyer et Sophie Toulouse et scénographiée par le designer Joachim Jirou-Najou, l’exposition en présente un aperçu, proposant un état des lieux du dessin aujourd’hui, tel qu’il se pense et se pratique en 2024.

Comment les étudiants dessinent-ils ?
Avec quels outils ?
Quelles visées ?
Quel(s) monde(s) dessinent-ils ?

En valorisant la richesse des voies du dessin actuel, envisagé de plus en plus souvent sous forme d’installations, l’exposition est aussi l’occasion de revenir sur les motifs qui le nourrissent, et sur la place, notable, de l’intime et du collectif dans les réalisations et les discours produits. Oscillant entre légèreté et gravité, les dessins des jeunes artistes apparaissent comme des tentatives de tisser des liens entre eux et le monde, donnant à leur histoire personnelle une portée collective, conjuratrice des malheurs et des blocages de l’époque.
Une exposition comme une traversée dans le dessin et les humeurs du moment, où la perméabilité s’organise et où les liens se réinventent, dessinant de nouveaux scénarios.
Le dessin comme espace de liberté, de guérison, de mise à distance et de transformation du monde pour la jeune génération.

À PROPOS DE THE DRAWER

Plateforme éditoriale et curatoriale fondée par Sophie Toulouse et Barbara Soyer, The Drawer publie depuis 2011 la revue de dessin du même nom, qui réunit chaque semestre une sélection d’artistes autour d’une thématique commune. 24 volumes sont parus à ce jour, qui constituent une collection éditoriale unique autour du dessin contemporain.

The Drawer publie également depuis 2017 des monographies et des livres d’artistes (Joie et That’s all Folks, Caroline Rennequin, 2024 et 2021, Les Dinosaures végétariens et Inventaire, Lamarche-Ovize, 2023 et 2017; Feelings on Felt, Léa Belooussovitch, 2021 ; Girrrland, Frédérique Loutz, 2021 ; Fiat Lux, Pierre Seinturier, 2021 ; >°GuΣ, Grégoire Alexandre & Christophe Brunnquell, 2020 ; Memory Lines, Stéphane Manel, 2019 ; Désordre, Gil Lesage, 2018) et conçoit des expositions monographiques ou collectives dédiées à la présentation du dessin dans ses différentes formes, parmi lesquelles « Les Choses », 2013, « Post-it notes - Paul Davis », 2014, galerie du jour agnès b, Paris ; « Heroes », 2016, « Ladies Only », 2019, « Modes et travaux », 2020, galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois, Paris.

LISTE DES ARTISTES PARTICIPANTS À L’EXPOSITION

Dany Albiach,
vit et travaille à Nice, 1999

Gabrielle Alexandre,
vit et travaille à Marseille, 1999

Lucia Augé,
vit et travaille à Nantes, 1999

Azad Avaguian-Eurdekian,
vit et travaille à Bruxelles, 1999

Léna Bédague,
vit et travaille entre Aix-en-Provence et Marseille, 2001

Chloé Inès Berrady,
vit et travaille à Marseille, 1996

Perrine Boudy,
vit et travaille à Marseille, 1995

Léonie My Linh Campion,
vit et travaille à Paris, 2000

Marguerite Canguilhem,
vit et travaille à Bruxelles, 2000

Alix Cassagnes,
vit et travaille à Paris, 1998

Antoine Conde,
vit et travaille à Paris, 1997

Alaïa Etchegoin,
vit et travaille à Paris, 2000

Anaïs Fontanges,
vit et travaille à Paris, 1998

Claire Gitton,
vit et travaille à Romainville, 1999

Elias Hosni,
vit et travaille à Marseille, 2000

Maëlle Ledauphin,
vit et travaille au Mans, 1999

Lucien Lejeune,
vit et travaille à Marseille, 2000

Lucie Lozano,
vit et travaille à Paris, 1999

Lucas Mathieu (Caroub),
vit et travaille à Marseille, 1998

Sordna-Rémy Neves,
vit et travaille à Lyon, 2000

Fedor Pliskin,
vit et travaille à Paris, 1998

Cléo Robert,
vit et travaille à Quimper, 2001

Zadig Robin,
vit et travaille à Marseille, 2001

Karim Saidi,
vit et travaille à Paris

Simon Thouément,
vit et travaille à Paris, 1998

Léa Toutain,
vit et travaille à Paris, 2000

Elise Weber,
vit et travaille à Paris, 2000

Biographies des artistes participants à l’exposition
*Dany Albiach*,
vit et travaille à Nice, 1999

A la façon d’autoportraits figuratifs, travaux méditatifs et spontanés, les oeuvres sur papier de Dany Albiach, artiste diplômé en 2024 de la Villa Arson à Nice qui pratique également la peinture, la sculpture et l’écriture, rendent compte de ses états intérieurs. Ils lui servent à appréhender et à donner du sens au monde qui l’entoure.

Sans titre, graphite, crayon de couleur sur papier, 50 x 65 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Dany Albiach,
vit et travaille à Nice, 1999

A la façon d’autoportraits figuratifs, travaux méditatifs et spontanés, les oeuvres sur papier de Dany Albiach, artiste diplômé en 2024 de la Villa Arson à Nice qui pratique également la peinture, la sculpture et l’écriture, rendent compte de ses états intérieurs. Ils lui servent à appréhender et à donner du sens au monde qui l’entoure.

Sans titre, graphite, crayon de couleur sur papier, 50 × 65 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste.

*Gabrielle Alexandre*,
vit et travaille à Marseille, 1999

Pratiqué sur des supports multiples (papier, papier peint, textile, vidéo...), le dessin de Gabrielle Alexandre rend compte, sous la forme d’installations, de son adolescence en milieu rural. Elle tente de déclencher, par le female gaze et la marionnette, un processus de réparation / re-création de son histoire. Et questionne également l’influence de la fiction, et notamment de la pop culture sur nos comportements.

Sans titre, série de motifs pour impression sur tissu, stylo, encre, 2023.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Gabrielle Alexandre,
vit et travaille à Marseille, 1999

Pratiqué sur des supports multiples (papier, papier peint, textile, vidéo…), le dessin de Gabrielle Alexandre rend compte, sous la forme d’installations, de son adolescence en milieu rural. Elle tente de déclencher, par le female gaze et la marionnette, un processus de réparation / re-création de son histoire. Et questionne également l’influence de la fiction, et notamment de la pop culture sur nos comportements.

Sans titre, série de motifs pour impression sur tissu, stylo, encre, 2023.
Courtesy de l’artiste.

*Lucia Augé*,
vit et travaille à Nantes, 1999

Diplômée des Arts-Déco de Paris, Lucia Augé s’inspire des illustrations pour enfants des années 70 pour raconter des histoires prenant parfois la forme de bandes dessinées. Ses papiers sont rendus vivants par l’encre colorée, l’aquarelle et le collage. Remarquée au dernier Festival d’Angoulême dans la catégorie Jeunes Talents, la jeune artiste est aujourd’hui en train de réaliser un premier court métrage animé.

L’homme a donné des noms à tous les animaux 2, encre sur papier, 2022.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Lucia Augé,
vit et travaille à Nantes, 1999

Diplômée des Arts-Déco de Paris, Lucia Augé s’inspire des illustrations pour enfants des années 70 pour raconter des histoires prenant parfois la forme de bandes dessinées. Ses papiers sont rendus vivants par l’encre colorée, l’aquarelle et le collage. Remarquée au dernier Festival d’Angoulême dans la catégorie Jeunes Talents, la jeune artiste est aujourd’hui en train de réaliser un premier court métrage animé.

L’homme a donné des noms à tous les animaux 2, encre sur papier, 2022.
Courtesy de l’artiste.

*Azad Avaguian-Eurdekian*,
vit et travaille à Bruxelles, 1999

S’inscrivant dans l’espace et en lien avec lui, le dessin d’Azad Avaguian-Eurdekian, diplômé de La Cambre à Bruxelles, prend la forme d’installations souvent monumentales. Consistant en l’agencement de feuilles de papier coloré de différents formats sur lesquelles l’artiste vient tracer à l’encre un répertoire de signes en perpétuelle évolution, ses oeuvres font figure de grands poèmes visuels. « Dans ce jeu mené chaque fois différemment, les signes nous entourent et exigent qu’on leur prête un sens singulier. »

Vue de l’exposition de Master 1, ENSAV de La Cambre, LaVallée, Bruxelles, 2023. Encres sur papier, dimensions variables.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Azad Avaguian-Eurdekian,
vit et travaille à Bruxelles, 1999

S’inscrivant dans l’espace et en lien avec lui, le dessin d’Azad Avaguian-Eurdekian, diplômé de La Cambre à Bruxelles, prend la forme d’installations souvent monumentales. Consistant en l’agencement de feuilles de papier coloré de différents formats sur lesquelles l’artiste vient tracer à l’encre un répertoire de signes en perpétuelle évolution, ses oeuvres font figure de grands poèmes visuels. « Dans ce jeu mené chaque fois différemment, les signes nous entourent et exigent qu’on leur prête un sens singulier. »

Vue de l’exposition de Master 1, ENSAV de La Cambre, LaVallée, Bruxelles, 2023. Encres sur papier, dimensions variables.
Courtesy de l’artiste.

*Léna Bédague*,
vit et travaille entre Aix-en-Provence et Marseille, 2001

Largement tournée vers le dessin, la pratique de Léna Bédague se nourrit du collectif et du présent. Illustré à plusieurs mains avec d’autres étudiant.es ami.es invité.es, son mémoire de Master aux Beaux-Arts d’Aix-en-Provence témoignait de la posture solidaire de la jeune artiste et des ancrages contemporains de son travail. Socialement et politiquement engagée, Léna Bédague fait du dessin son moyen d’expression premier et des banderoles, pancartes et affiches ses supports privilégiés.

Page extraite de On rentrera qen on ora f1, mémoire de Master, 2023.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Léna Bédague,
vit et travaille entre Aix-en-Provence et Marseille, 2001

Largement tournée vers le dessin, la pratique de Léna Bédague se nourrit du collectif et du présent. Illustré à plusieurs mains avec d’autres étudiant.es ami.es invité.es, son mémoire de Master aux Beaux-Arts d’Aix-en-Provence témoignait de la posture solidaire de la jeune artiste et des ancrages contemporains de son travail. Socialement et politiquement engagée, Léna Bédague fait du dessin son moyen d’expression premier et des banderoles, pancartes et affiches ses supports privilégiés.

Page extraite de On rentrera qen on ora f1, mémoire de Master, 2023.
Courtesy de l’artiste.

*Chloé Inès Berrady*,
vit et travaille à Marseille, 1996

« La nécessité de décomposer pour recomposer est intrinsèque à mon travail. J’ai besoin de (re) bâtir un lien, relier avec un fil mes expériences multiples. Je m’intéresse aux tissus urbains dans lesquels j’ai évolué, entourée d’identités plurielles. Casablanca, la banlieue parisienne, Rennes et aujourd’hui Marseille sont des villes que j’ai habitées et qui m’habitent » . Elles sont les motifs principaux du travail de l’artiste diplômée des Beaux-Arts d’Aix, qui vise, par le biais du dessin, de la broderie et de la peinture à troubler les sens de lecture, à « suggérer une nouvelle trame hybride qui révèle les traces et les déchirures sans complexes ».

Thé à la menthe, crayon aquarelle, marqueur, acrylique, paillettes, fils de chanvre, papier dessin, 
29,7 x 48 cm, 2022.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Chloé Inès Berrady,
vit et travaille à Marseille, 1996

« La nécessité de décomposer pour recomposer est intrinsèque à mon travail. J’ai besoin de (re) bâtir un lien, relier avec un fil mes expériences multiples. Je m’intéresse aux tissus urbains dans lesquels j’ai évolué, entourée d’identités plurielles. Casablanca, la banlieue parisienne, Rennes et aujourd’hui Marseille sont des villes que j’ai habitées et qui m’habitent » . Elles sont les motifs principaux du travail de l’artiste diplômée des Beaux-Arts d’Aix, qui vise, par le biais du dessin, de la broderie et de la peinture à troubler les sens de lecture, à « suggérer une nouvelle trame hybride qui révèle les traces et les déchirures sans complexes ».

Thé à la menthe, crayon aquarelle, marqueur, acrylique, paillettes, fils de chanvre, papier dessin,
29,7 × 48 cm, 2022.
Courtesy de l’artiste.

*Perrine Boudy*,
vit et travaille à Marseille, 1995

Diplômée de la Villa Arson en 2023, Perrine Boudy dessine partout, tout le temps et sur tous les supports - céramique, papier, mur et sol... Elle s’inspire d’une vision fantasmée de la civilisation gréco-romaine pour créer un répertoire de formes qui lui est propre, à mi-chemin entre les arts décoratifs et les Beaux-Arts.

Vue d’exposition « Le Luxe I - Hommage à Matisse », galerie Hyperbien, Montreuil, 2024.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Perrine Boudy,
vit et travaille à Marseille, 1995

Diplômée de la Villa Arson en 2023, Perrine Boudy dessine partout, tout le temps et sur tous les supports - céramique, papier, mur et sol… Elle s’inspire d’une vision fantasmée de la civilisation gréco-romaine pour créer un répertoire de formes qui lui est propre, à mi-chemin entre les arts décoratifs et les Beaux-Arts.

Vue d’exposition « Le Luxe I - Hommage à Matisse », galerie Hyperbien, Montreuil, 2024.
Courtesy de l’artiste.

*Léonie My Linh Campion*,
vit et travaille à Paris, 2000

En 2023, Léonie My Linh Campion a débuté la série « Confessions ». Elle transcrit au crayon à la verticale sur du papier de calligraphie des sms reçus ou des discussions avec des membres de sa famille, parfois accompagnés de dessins. Avec minutie, la jeune diplômée des Arts Décoratifs de Paris lie l’écriture, le langage et le dessin, donnant au contenu intime de ses textes la possibilité d’une lecture distanciée et aux mots une matérialité et une mémoire tangible.

Confessions oniriques, crayon à papier sur papier quadrillé, 29,7 x 42 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Léonie My Linh Campion,
vit et travaille à Paris, 2000

En 2023, Léonie My Linh Campion a débuté la série « Confessions ». Elle transcrit au crayon à la verticale sur du papier de calligraphie des sms reçus ou des discussions avec des membres de sa famille, parfois accompagnés de dessins. Avec minutie, la jeune diplômée des Arts Décoratifs de Paris lie l’écriture, le langage et le dessin, donnant au contenu intime de ses textes la possibilité d’une lecture distanciée et aux mots une matérialité et une mémoire tangible.

Confessions oniriques, crayon à papier sur papier quadrillé, 29,7 × 42 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste.

*Marguerite Canguilhem*,
vit et travaille à Bruxelles, 2000

Troubler l’image et sa lisibilité, lui donner la complexité qu’elle renferme par la technique et les textures employées, redimensionner le réel pour en montrer l’étrangeté voire la monstruosité est l’objectif de Marguerite Canguilhem. Dans les oeuvres sur papier grand format de cette diplômée de La Cambre à Bruxelles, qui nécessitent de nombreuses étapes de création, le regardeur est mis à l’épreuve, invité à décrypter l’image finale, à en saisir le sens et le mystère.

Trip to Munich #3, huile, encre, glycérine sur papier, 
192 x 144 cm, 2022.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Marguerite Canguilhem,
vit et travaille à Bruxelles, 2000

Troubler l’image et sa lisibilité, lui donner la complexité qu’elle renferme par la technique et les textures employées, redimensionner le réel pour en montrer l’étrangeté voire la monstruosité est l’objectif de Marguerite Canguilhem. Dans les oeuvres sur papier grand format de cette diplômée de La Cambre à Bruxelles, qui nécessitent de nombreuses étapes de création, le regardeur est mis à l’épreuve, invité à décrypter l’image finale, à en saisir le sens et le mystère.

Trip to Munich #3, huile, encre, glycérine sur papier,
192 × 144 cm, 2022.
Courtesy de l’artiste.

*Alix Cassagnes*,
vit et travaille à Paris, 1998

Alix Cassagnes accompagne sa transition de genre par la réalisation d’un trousseau : motifs hiéraldiques, dessins techniques, impressions sur soie, expérimentations, dentelle aux fuseaux, broderie, jours à fils resserrés, etc. sont autant de manières de se révéler intimement et délicatement, de prendre sa place dans le monde. Diplômée des Arts-Déco de Paris, elle se dirige cette année vers la mode.

Carreaux, graphite et crayons de couleur, 19,5 x 14,5 cm.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Alix Cassagnes,
vit et travaille à Paris, 1998

Alix Cassagnes accompagne sa transition de genre par la réalisation d’un trousseau : motifs hiéraldiques, dessins techniques, impressions sur soie, expérimentations, dentelle aux fuseaux, broderie, jours à fils resserrés, etc. sont autant de manières de se révéler intimement et délicatement, de prendre sa place dans le monde. Diplômée des Arts-Déco de Paris, elle se dirige cette année vers la mode.

Carreaux, graphite et crayons de couleur, 19,5 × 14,5 cm.
Courtesy de l’artiste.

*Antoine Conde*,
vit et travaille à Paris, 1997

Dans ses dessins, Antoine Conde accumule et assemble les images pop et les récits intimes, donnant vie à des collages dessinés au graphite sur papier présentés parfois sous la forme d’installations. Jouant avec les fonctions et les façons de montrer le dessin, le jeune diplômé des Beaux-Arts et des Arts-Déco de Paris l’envisage en ce moment en volume, expérimentant la technique du pliage et de l’origami à différentes échelles.

ANOTHER NIGHT CALL [Encore un appel nocturne], graphite sur papier, 18 x 12 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Antoine Conde,
vit et travaille à Paris, 1997

Dans ses dessins, Antoine Conde accumule et assemble les images pop et les récits intimes, donnant vie à des collages dessinés au graphite sur papier présentés parfois sous la forme d’installations. Jouant avec les fonctions et les façons de montrer le dessin, le jeune diplômé des Beaux-Arts et des Arts-Déco de Paris l’envisage en ce moment en volume, expérimentant la technique du pliage et de l’origami à différentes échelles.

ANOTHER NIGHT CALL [Encore un appel nocturne], graphite sur papier, 18 × 12 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste.

*Alaïa Etchegoin*,
vit et travaille à Paris, 2000

Alaïa Etchegoin se sert de tout ce qu’elle a à sa disposition pour dessiner - pastels gras, pastels secs, gouaches, crayons… Ses dessins prennent une épaisseur étrange, proche de la peinture à l’huile. L’univers onirique et art déco de cette artiste diplômée en design graphique raconte des histoires et des mondes magiques. Ses dessins semblent tout droit sortis d’un conte pour enfant.

Zinzins From Nowhere, acrylique sur papier et photomontage de sculptures peintes numériquement, 
28 x 38 cm, 2022.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Alaïa Etchegoin,
vit et travaille à Paris, 2000

Alaïa Etchegoin se sert de tout ce qu’elle a à sa disposition pour dessiner - pastels gras, pastels secs, gouaches, crayons… Ses dessins prennent une épaisseur étrange, proche de la peinture à l’huile. L’univers onirique et art déco de cette artiste diplômée en design graphique raconte des histoires et des mondes magiques. Ses dessins semblent tout droit sortis d’un conte pour enfant.

Zinzins From Nowhere, acrylique sur papier et photomontage de sculptures peintes numériquement,
28 × 38 cm, 2022.
Courtesy de l’artiste.

*Anaïs Fontanges*,
vit et travaille à Paris, 1998

Anaïs Fontanges ne jette rien, archive et recycle tout — les dessins qu’elle réalise, les petits objets qu’elle trouve. « Je dirais que ma pratique du dessin est accumulative » dit-elle. Son dessin relève d’un geste écologique. L’artiste sortie des Beaux-Arts de Paris mélange, accumule, associe, réinvente les motifs existants à l’aide, parfois, d’un
programme informatique de composition aléatoire d’images. « À quoi bon créer de nouvelles images ? Il en existe déjà tellement. »

Parchís, crayon à papier, crayons de couleur, impression thermique et collage sur carton rose, 31 x 22,6 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Anaïs Fontanges,
vit et travaille à Paris, 1998

Anaïs Fontanges ne jette rien, archive et recycle tout — les dessins qu’elle réalise, les petits objets qu’elle trouve. « Je dirais que ma pratique du dessin est accumulative » dit-elle. Son dessin relève d’un geste écologique. L’artiste sortie des Beaux-Arts de Paris mélange, accumule, associe, réinvente les motifs existants à l’aide, parfois, d’un
programme informatique de composition aléatoire d’images. « À quoi bon créer de nouvelles images ? Il en existe déjà tellement. »

Parchís, crayon à papier, crayons de couleur, impression thermique et collage sur carton rose, 31 × 22,6 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste.

*Claire Gitton*,
vit et travaille à Romainville, 1999

Réalisés sur des supports plus ou moins nobles, nourris d’images et de références populaires, de typographies récurrentes et marquées, les dessins au marqueur ou au stylo de Claire Gitton ont une efficacité visuelle immédiate, dont la composition contredit l’apparente simplicité. Pratiquant le dessin autant que la peinture, l’artiste diplômée des Beaux-Arts de Paris envisage les deux pratiques sans hiérarchie, à égalité, dans une réelle porosité de styles et d’écritures.

Rosa, stylo sur papier, 2024.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Claire Gitton,
vit et travaille à Romainville, 1999

Réalisés sur des supports plus ou moins nobles, nourris d’images et de références populaires, de typographies récurrentes et marquées, les dessins au marqueur ou au stylo de Claire Gitton ont une efficacité visuelle immédiate, dont la composition contredit l’apparente simplicité. Pratiquant le dessin autant que la peinture, l’artiste diplômée des Beaux-Arts de Paris envisage les deux pratiques sans hiérarchie, à égalité, dans une réelle porosité de styles et d’écritures.

Rosa, stylo sur papier, 2024.
Courtesy de l’artiste.

*Elias Hosni*,
vit et travaille à Marseille, 2000

Elias Hosni revendique une esthétique DIY, genre terrain vague digital, et réalise des dessins témoins de la plasticité du numérique. Ses installations façon « récup chez Diogène » participent du même mouvement, et dévoilent un imaginaire en perpétuelle construction, où l’hybridation et la mutation dominent. L’alliance du dessin, de la technologie et du bricolage.

Dessin numérique issu du mémoire clic3, 2023.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Elias Hosni,
vit et travaille à Marseille, 2000

Elias Hosni revendique une esthétique DIY, genre terrain vague digital, et réalise des dessins témoins de la plasticité du numérique. Ses installations façon « récup chez Diogène » participent du même mouvement, et dévoilent un imaginaire en perpétuelle construction, où l’hybridation et la mutation dominent. L’alliance du dessin, de la technologie et du bricolage.

Dessin numérique issu du mémoire clic3, 2023.
Courtesy de l’artiste.

*Maëlle Ledauphin*,
vit et travaille au Mans, 1999

Diplômée des Beaux-Arts du Mans, Maëlle Ledauphin qualifie son dessin d’analogique. Il fonctionne par accumulation et associations d’idées. Ces hybridations surréalistes se rejouent ensuite différemment chaque fois qu’elle les assemble sur le mur. L’utilisation du pastel gras, de la peinture et du collage brouille les frontières entre les médiums : « ils servent des compositions d’espaces fermés sur eux-mêmes, dans lesquelles le hors-champ n’existe pas ; le dessin y tient comme dans unephrase ».

Calculis, pastel gras, mine de plomb et crayon de couleur sur papier, 100 x 123 cm, 2022. 
© Kristien Deam.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Maëlle Ledauphin,
vit et travaille au Mans, 1999

Diplômée des Beaux-Arts du Mans, Maëlle Ledauphin qualifie son dessin d’analogique. Il fonctionne par accumulation et associations d’idées. Ces hybridations surréalistes se rejouent ensuite différemment chaque fois qu’elle les assemble sur le mur. L’utilisation du pastel gras, de la peinture et du collage brouille les frontières entre les médiums : « ils servent des compositions d’espaces fermés sur eux-mêmes, dans lesquelles le hors-champ n’existe pas ; le dessin y tient comme dans unephrase ».

Calculis, pastel gras, mine de plomb et crayon de couleur sur papier, 100 × 123 cm, 2022.
© Kristien Deam.
Courtesy de l’artiste.

*Lucien Lejeune*,
vit et travaille à Marseille, 2000

La pratique du dessin de l’artiste diplômé des Beaux-Arts de Marseille est liée au savoir-faire de la gravure, médium qu’il explore encore aujourd’hui, tout comme celui de la céramique, transposant ainsi son univers graphique en volume. Ses dessins, mélanges d’architectures, d’ornements et de récits sacrés, donnent naissance à des compositions coupées de toute temporalité, évocations mélancoliques de fin d’un monde.

Vision d’un réceptacle pour dessins colorés, feutres sur papier, 29,7 x 42 cm, 2024. 
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Lucien Lejeune,
vit et travaille à Marseille, 2000

La pratique du dessin de l’artiste diplômé des Beaux-Arts de Marseille est liée au savoir-faire de la gravure, médium qu’il explore encore aujourd’hui, tout comme celui de la céramique, transposant ainsi son univers graphique en volume. Ses dessins, mélanges d’architectures, d’ornements et de récits sacrés, donnent naissance à des compositions coupées de toute temporalité, évocations mélancoliques de fin d’un monde.

Vision d’un réceptacle pour dessins colorés, feutres sur papier, 29,7 × 42 cm, 2024.
Courtesy de l’artiste.

*Lucie Lozano*,
vit et travaille à Paris, 1999

Diplômée des Arts-Déco de Paris, Lucie Lozano pratique le dessin et le tissage. D’un côté, elle dessine aux feutres dans des carnets des motifs dont le recto et le verso racontent différemment la même image. De l’autre, elle fait apparaître dans des pièces tissées des images ou des mots qui se devinent et se dessinent progressivement, telles des apparitions fragiles et fantastiques. Un art de la perception et de la déformation où les fantômes tiennent une place centrale.

cahier cousu à la main, feutres à alcool, stylo bille,
21 x 14,5 cm, 2022.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Lucie Lozano,
vit et travaille à Paris, 1999

Diplômée des Arts-Déco de Paris, Lucie Lozano pratique le dessin et le tissage. D’un côté, elle dessine aux feutres dans des carnets des motifs dont le recto et le verso racontent différemment la même image. De l’autre, elle fait apparaître dans des pièces tissées des images ou des mots qui se devinent et se dessinent progressivement, telles des apparitions fragiles et fantastiques. Un art de la perception et de la déformation où les fantômes tiennent une place centrale.

cahier cousu à la main, feutres à alcool, stylo bille,
21 × 14,5 cm, 2022.
Courtesy de l’artiste.

*Lucas Mathieu (Caroub)*,
vit et travaille à Marseille, 1998

Délaissant l’observation et figuration pour l’expérimentation, Lucas Mathieu (Caroub) cherche depuis quelque temps de nouvelles formes de dessin. « Je cherche à exprimer la poésie et les relations entre les structures du visible, qu’elles soient issues du vivant, de la matière inanimée ou de l’écriture », dit l’artiste formé aux Arts-Déco de Paris. À travers un processus créatif automatique, il réutilise leurs rythmes et leurs règles sous-jacentes pour composer de petits univers graphiques intimes et foisonnants.

Page extraite d’un carnet de dessins automatiques, techniques mixtes sur papier, 
15 x 21 cm, 2023. 
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Lucas Mathieu (Caroub),
vit et travaille à Marseille, 1998

Délaissant l’observation et figuration pour l’expérimentation, Lucas Mathieu (Caroub) cherche depuis quelque temps de nouvelles formes de dessin. « Je cherche à exprimer la poésie et les relations entre les structures du visible, qu’elles soient issues du vivant, de la matière inanimée ou de l’écriture », dit l’artiste formé aux Arts-Déco de Paris. À travers un processus créatif automatique, il réutilise leurs rythmes et leurs règles sous-jacentes pour composer de petits univers graphiques intimes et foisonnants.

Page extraite d’un carnet de dessins automatiques, techniques mixtes sur papier,
15 × 21 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste.

*Sordna-Rémy Neves*,
vit et travaille à Lyon, 2000

Qu’ils soient dessinés au stylo, réalisés numériquement, tracés sur de grands tissus ou tatoués sur la peau de l’artiste, les monstres et satyres qui composent les figures des dessins de Sordna-Rémy Neves ont la puissance cathartique et identificatoire des autoportraits. 
« Mon travail est une forme d’autobiographie, un « je » qui pourrait servir à une représentation plurielle », précise l’artiste, lauréat du Prix Dufraine de l’Ensba Lyon en 2024.

Sans titre, dessin numérique, 2023.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Sordna-Rémy Neves,
vit et travaille à Lyon, 2000

Qu’ils soient dessinés au stylo, réalisés numériquement, tracés sur de grands tissus ou tatoués sur la peau de l’artiste, les monstres et satyres qui composent les figures des dessins de Sordna-Rémy Neves ont la puissance cathartique et identificatoire des autoportraits.
« Mon travail est une forme d’autobiographie, un « je » qui pourrait servir à une représentation plurielle », précise l’artiste, lauréat du Prix Dufraine de l’Ensba Lyon en 2024.

Sans titre, dessin numérique, 2023.
Courtesy de l’artiste.

*Fedor Pliskin*,
vit et travaille à Paris, 1998

Fedor Pliskin met en scène son double numérique qu’il décline inlassablement dans diverses situations. À la fois graphique, technologique et low-key, ce personnage sert un propos narratif personnel grinçant et joyeux. Poursuivant ses recherches et expérimentations, Fedor Pliskin entame à la rentrée 2024 une 6e
année à l’Ecole des Arts Décoratifs de Paris.

Beau gosse, graphite et impression laser sur simili-japon, 42 x 29,7 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Fedor Pliskin,
vit et travaille à Paris, 1998

Fedor Pliskin met en scène son double numérique qu’il décline inlassablement dans diverses situations. À la fois graphique, technologique et low-key, ce personnage sert un propos narratif personnel grinçant et joyeux. Poursuivant ses recherches et expérimentations, Fedor Pliskin entame à la rentrée 2024 une 6e
année à l’Ecole des Arts Décoratifs de Paris.

Beau gosse, graphite et impression laser sur simili-japon, 42 × 29,7 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste.

*Cléo Robert*,
vit et travaille à Quimper, 2001

Cléo Robert aime les supports ouatés, chaleureux et intimes
(couettes, oreillers, mouchoirs…) pour accueillir ses formes et ses figures dessinées. Dans ses carnets, l’artiste diplômée des Beaux-Arts
de Quimper met en scène des femmes aux yeux fermés, signe à la
fois de confiance et de refus de voir les choses en face, pointant ainsi
du doigt l’incohérence et le biais cognitif qui enveloppent tout un chacun.e.

Carnet, feutres à alcool, 2023.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Cléo Robert,
vit et travaille à Quimper, 2001

Cléo Robert aime les supports ouatés, chaleureux et intimes
(couettes, oreillers, mouchoirs…) pour accueillir ses formes et ses figures dessinées. Dans ses carnets, l’artiste diplômée des Beaux-Arts
de Quimper met en scène des femmes aux yeux fermés, signe à la
fois de confiance et de refus de voir les choses en face, pointant ainsi
du doigt l’incohérence et le biais cognitif qui enveloppent tout un chacun.e.

Carnet, feutres à alcool, 2023.
Courtesy de l’artiste.

*Zadig Robin*,
vit et travaille à Marseille, 2001

Diplômé des Beaux-Arts de Marseille, Zadig Robin dessine à l’encre de Chine la vie réelle 
et fantasmée d’une jeunesse marseillaise. Des paysages et des moments suspendus entourés d’amis, de chiens et d’objets utilitaires sont tracés sur le papier ou sur des lanières de PVC façon entrepôt ou chantier. Une façon de « fictionner » le réel pour le rendre plus supportable. Le banal devient sujet, décor dans lequel il fait bon vivre, un Endless Summer.

Sans titre, encre de Chine, 
150 x 200 cm, 2023. 
Courtesy de l’artiste - © Villa Noailles Hyères

Zadig Robin,
vit et travaille à Marseille, 2001

Diplômé des Beaux-Arts de Marseille, Zadig Robin dessine à l’encre de Chine la vie réelle
et fantasmée d’une jeunesse marseillaise. Des paysages et des moments suspendus entourés d’amis, de chiens et d’objets utilitaires sont tracés sur le papier ou sur des lanières de PVC façon entrepôt ou chantier. Une façon de « fictionner » le réel pour le rendre plus supportable. Le banal devient sujet, décor dans lequel il fait bon vivre, un Endless Summer.

Sans titre, encre de Chine,
150 × 200 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste

*Karim Saidi*,
vit et travaille à Paris

Karim Saidi ne dessine pas. Il grave et peint. Inspirée notamment par les oeuvres de Walter Crane et d’Aubrey Beardsley, sa dernière série de gravures, « The Gain of Truth », présentée à son diplôme aux Beaux-Arts de Paris, suit les aventures de faunes et de jeunes hommes au sexe masqué de fleurs évoluant dans une nature idyllique et liquide, sublimée par les motifs graphiques et psychédéliques de l’artiste.

Diving Deep, série « The Watery Sphere », aquatinte et eau-forte, 22 x 29 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Karim Saidi,
vit et travaille à Paris

Karim Saidi ne dessine pas. Il grave et peint. Inspirée notamment par les oeuvres de Walter Crane et d’Aubrey Beardsley, sa dernière série de gravures, « The Gain of Truth », présentée à son diplôme aux Beaux-Arts de Paris, suit les aventures de faunes et de jeunes hommes au sexe masqué de fleurs évoluant dans une nature idyllique et liquide, sublimée par les motifs graphiques et psychédéliques de l’artiste.

Diving Deep, série « The Watery Sphere », aquatinte et eau-forte, 22 × 29 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste.

*Simon Thouément*,
vit et travaille à Paris, 1998

Simon Thouément pense le dessin en mouvement. Il réalise des films courts, des clips, anime ses carnets de voyage, etc. Réalisé pour sa licence en cinéma d’animation aux Arts-Déco de Paris en 2023, son film Géant, en couverture de The Drawer #24, a été dessiné en numérique et animé avec une trame d’impression pour créer du contraste avec les personnages, incluant le fameux géant.

Image extraite de Géant, triptyque animé, 3’ 20’’, 2023.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Simon Thouément,
vit et travaille à Paris, 1998

Simon Thouément pense le dessin en mouvement. Il réalise des films courts, des clips, anime ses carnets de voyage, etc. Réalisé pour sa licence en cinéma d’animation aux Arts-Déco de Paris en 2023, son film Géant, en couverture de The Drawer #24, a été dessiné en numérique et animé avec une trame d’impression pour créer du contraste avec les personnages, incluant le fameux géant.

Image extraite de Géant, triptyque animé, 3’ 20’’, 2023.
Courtesy de l’artiste.

*Léa Toutain*,
vit et travaille à Paris, 2000

Nommée avec trois autres étudiant.es au Prix du dessin contemporain des Beaux-Arts de Paris 2024, Léa Toutain pratique à la fois un dessin d’observation et d’invention. Réalisés sur le motif ou à l’atelier, dans des carnets ou sur papier, ses dessins 
« naviguent entre le fini et l’inachevé ». L’attention à la lumière, « voir comment les choses apparaissent et comment rendre compte de la lumière sur une surface », sont au coeur de la recherche de la jeune artiste.

Lumière, atelier Marion, crayon de couleur, 65 x 42 cm, 2024.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Léa Toutain,
vit et travaille à Paris, 2000

Nommée avec trois autres étudiant.es au Prix du dessin contemporain des Beaux-Arts de Paris 2024, Léa Toutain pratique à la fois un dessin d’observation et d’invention. Réalisés sur le motif ou à l’atelier, dans des carnets ou sur papier, ses dessins
« naviguent entre le fini et l’inachevé ». L’attention à la lumière, « voir comment les choses apparaissent et comment rendre compte de la lumière sur une surface », sont au coeur de la recherche de la jeune artiste.

Lumière, atelier Marion, crayon de couleur, 65 × 42 cm, 2024.
Courtesy de l’artiste.

*Elise Weber*,
vit et travaille à Paris, 2000

En juillet dernier, pour son diplôme aux Arts Décoratifs de Paris, Elise Weber présentait un ensemble de peintures sur bois et sur toile intitulé « Le jour vide ses images ». Parmi les pièces, une huile sur papier, Bedroom 4, à la palette bleutée, rejoignait d’autres dessins déjà réalisés par l’artiste qui aime représenter les corps immobiles, au repos ou endormis — les personnages d’un « théâtre silencieux » qui se joue sur le papier.

Réveils, huile sur papier, 
21 x 29,7 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste. - © Villa Noailles Hyères

Elise Weber,
vit et travaille à Paris, 2000

En juillet dernier, pour son diplôme aux Arts Décoratifs de Paris, Elise Weber présentait un ensemble de peintures sur bois et sur toile intitulé « Le jour vide ses images ». Parmi les pièces, une huile sur papier, Bedroom 4, à la palette bleutée, rejoignait d’autres dessins déjà réalisés par l’artiste qui aime représenter les corps immobiles, au repos ou endormis — les personnages d’un « théâtre silencieux » qui se joue sur le papier.

Réveils, huile sur papier,
21 × 29,7 cm, 2023.
Courtesy de l’artiste.

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